AtmoSud évalue un épurateur d’air intérieur et le teste avec des lycéens

Visuel
épurateur d'air dans un bureau

Publié le 11 mars 2022

Contenu
Contenu

Dans le contexte de la pandémie liée à la COVID 19, les solutions d’épuration de l’air intérieur sont envisagées comme moyen complémentaire à un bon renouvellement d’air pour minimiser l’accumulation de la charge virale du coronavirus dans l’air des bâtiments. La question posée ici est celle de l’efficacité du dispositif Eurévia cPure dans des conditions réelles d’utilisation à l’intérieur d’un bâtiment de bureaux : Son effet, est-il significatif à l’échelle d’une pièce ? Son efficacité sur les particules pouvant transporter le virus est-elle bien réelle ?

Dans deux salles de classe et un réfectoire, des mesures de particules de 10 nm à 35 µm, de COV (composés organiques volatils) et CO2 ont été réalisées pendant une semaine à distance de l’épurateur, mis en service par les occupants selon un protocole établi, en retraçant l’occupation et l’ouverture des ouvrants.

Alors que l’épurateur occasionne une baisse négligeable des COV, il permet un abattement significatif du nombre de particules fines et ultrafines (70 %) dans les salles de classe.

Nous rappelons que les systèmes d’épuration d’air ne doivent pas se substituer au renouvellement d’air qui doit rester la stratégie principale d’amélioration de la qualité de l’air intérieur et de lutte contre le virus SARS-CoV-2 dans les ambiances intérieures en complément des gestes barrière.

Texte

L'aération des salles de classe a un triple bénéfice : baisse de la charge virale, baisse de la pollution de l'air intérieur et amélioration des conditions d'apprentissage.

220722_Rapport_cPure_Diderot_Marseille.pdf
Document par défaut
pdf - 1 août 2022 - 6.75 MB
Titre
Rapport étude : évaluation épurateur cPure dans le lycée Diderot à Marseille
bouton d'actions