La pollution photochimique en 2018 marque une rupture dans la tendance à la baisse de ces vingt dernières années : la chaleur qui a marqué l’été, ainsi que des émissions industrielles ponctuelles, ont entraîné une hausse du nombre de pics d’ozone.
Un été atypique marqué par de fortes chaleurs favorables à la formation d’ozone, entraînant ainsi une hausse du nombre de pics de pollution en 2018. Cette augmentation ponctuelle ne remet pas en cause la tendance à la baisse observée depuis plusieurs années.
La pollution chronique causée par la présence rémanente de polluants issus des pôles d’activité de la région reste quasiment stable depuis plus de 20 ans.
57% de la population de la région habite dans une zone qui a dépassé la Valeur Cible Européenne pour la protection de la santé entre 2015 et 2017.