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La limitation de vitesse à 30 km/h ne permet pas à elle seule de diminuer la pollution de l’air si l’on a une approche véhicule par véhicule.
En revanche, c’est un premier pas vers une zone « apaisée », une vitesse des véhicules plus faible facilite le partage des voies de circulation avec des modes de transports alternatifs à l’automobile comme la marche ou le vélo. Elle favorise aussi la fluidité du trafic et des modes de conduite moins agressifs. La réduction de la vitesse combinée à un réaménagement des infrastructures permet une amélioration de la qualité de vie et de la qualité de l’air.