Du 10 juin 2015 au 23 décembre 2015
Zone littorale urbaine des Alpes-Maritimes sur lesquelles un ou plusieurs sites de mesures a/ont été séléctionné(s) : Menton, Roquebrune-Cap-Martin, Beausoleil, Cap d’Ail, La Turbie, Eze, Beaulieu-sur-Mer, Villefranche-sur-Mer, La Trinité, Nice, Saint Laurent du Var, Cagnes-sur-Mer, Villeneuve-Loubet, Antibes, Cannes, Le Cannet, Mandelieu-la-Napoule, Mougins, Mouans-Sartoux, Valbonne, Grasse.
Pourquoi cette étude ?
- Améliorer les connaissances sur les niveaux de dioxyde d’azote et de certains composés organiques volatils (Benzène, Toluène, Ethylbenzène, Xylènes),
- Evaluer les évolutions depuis les dernières campagnes de mesure,
- Améliorer la représentativité spatiale des polluants mesurés sur les cartographies,
- Répondre à des besoins locaux spécifiques,
- Disposer d’un état initial/final pour de futurs projets ou aménagements réalisés ou prévus.
Que peut-on en retenir ?
Les résultats mettent en évidence les zones présentant un risque de dépassement de la valeur limite annuelle en NO2 :
Globalement, les zones les plus touchées sont celles à proximité immédiate des principaux axes de circulation. Toutefois, plusieurs zones urbaines, sous influence trafic, présentent également un risque de dépassement, voire un dépassement avéré, de la valeur limite réglementaire.
Il est important de préciser qu’à l’heure actuelle nous ne disposons que de résultats partiels issus des mesures effectuées durant la période estivale (10 juin au 8 juillet 2015) pour laquelle le tourisme est fort.
La seconde phase de mesure (hivernale, du 24 novembre au 23 décembre 2015) permettra de calculer une estimation des concentrations annuelles.