Publié le 14 janvier 2021
Globalement, la qualité de l’air s’améliore en 2019 sur le territoire régional, en grande partie grâce à l’amélioration technologique des véhicules et du secteur industriel. Néanmoins, des efforts restent à mener, aussi bien dans les villes que dans les campagnes. Les zones les plus urbanisées du territoire, où les sources de pollution sont les plus nombreuses et dans lesquelles la dispersion des polluants est moins efficace, restent des zones à forts enjeux pour la qualité de l’air.
En 2019, près d’un million d’habitants de la région résident dans une zone dépassant le seuil de l’organisation mondiale de la santé pour les particules fines PM2.5 et 75 000 personnes dans une zone dépassant la valeur limite réglementaire pour le dioxyde d’azote.
Dans les zones rurales, les enjeux de qualité de l’air existent aussi, en lien avec la pollution au chauffage au bois, au brûlage des déchets verts, et à l’ozone qui impacte l’ensemble de la région.