Publié le 13 septembre 2016
• Deux carrières de calcaire ont été analysées : l’une à Salon de Provence (GSM granulats) et l’autre à Marseille St. Marthe (Bronzo-Perasso).
• Pour les deux carrières étudiées : l’impact relatif à la qualité de l’air est limité aux abords des carrières. L’impact géographique est restreint.
• De forts gradients de concentrations en PM10 et PM2.5 sont observés et modélisés de part et d’autre des limites des deux carrières. Dans le cas présent, l’influence de l’activité industrielle est située dans la zone des 200 m aux abords des deux carrières investiguées.
• Les concentrations en PM2.5 enregistrées aux points d’expositions (situation aval) sont inférieures aux valeurs limites dans les observations et dans les modélisations.
• Les concentrations en PM10 atteignent les valeurs limites aux centres des carrières.
• L’exposition des populations riveraines des deux carrières étudiées semblent réduite après la zone des 200 m.
• Les concentrations modélisées avec ADMS et avec les seuls facteurs d’émissions CITEPA 2010, CITEPA 2014 et AP42 ne permettent pas de reproduire les observations en proximité de carrières. L’ajout d’une pollution de fond est indispensable pour simuler avec succès les concentrations mesurées.
• En situation de proximité (centre des carrières), les concentrations modélisées avec ADMS à l’aide des émissions calculées avec les facteurs d’émissions CITEPA 2010 sont plus proches des observations.