Le 11 juillet, en plus des épisodes de pollution à l’ozone, AtmoSud avait prévu l’impact d’une masse d’air chargée en particules désertiques sur la Région. Les particules désertiques sont principalement des particules assez grossières, principalement des PM10 mais occasionnent également une élévation des particules plus fines comme les PM2.5.
Les stations de mesures de référence d’AtmoSud montrent bien cette élévation des particules entre Marseille et Aix-en-Provence.
